Pour que le souvenir reste

Que notre histoire demeure à jamais dans nos coeurs !!!

6
avr 2013

Après quelques années de silence mais toujours à l’écoute des livres, photos, documentaires, ou commentaires déposés sur mon blog, je vous invite à découvrir les souvenirs de ma Mère. Je me permettrais de poursuivre sur ses dernières phrases écrites, suite à de nouvelles informations reçues via le site de « Oran des années 50″ que je remercie par avance. Ma mère ayant noté ses premiers écrits dans un cahier, j’ai retranscrit mot à mot ses dires.

Valérie

LES SOUVENIRS DE MA MERE

Dans ce cahier vont se dérouler toutes les étapes dont je me souviens sur ma vie.

Naturellement, date de naissance : le 24 février 1944

De vraiment bébé, je ne me rappelle pas grand-chose à part que mon père par inadvertance (en ce moment ma mère était malade) m’a intoxiqué avec un biberon de lait et il a fallu que je boive du café noir (mais ceci, c’est ce que j’ai entendu me dire)

 

Ensuite vint les années scolaires où je fus quand même une élève disons d’un niveau assez bon (surtout en math et en français). Je me souviens déjà petite lorsque j’allais au cours élémentaire, 2ème année (CE2) je fus un jour renversée par la voiture de ma maitresse, mais c’était un peu ma faute car je sortis en courant de la cour d’école dans la rue. Ce ne fut rien de grave, que de la  peur. Ce dont je me souviens de cette maitresse (Mme Rigal) c’est qu’elle nous punissait  assez sévèrement (règle sur le bout des doigts) et en plus nous sortait des surnoms ce qui ne plaisait toujours pas. Enfin on finit par oublier.

J’ai redoublé mon CM2 car échec à l’examen d’entrée en 6ème.

Puis  de la 6ème à la 3ème, tout s’est bien déroulé au point de vue niveau scolaire, beaucoup de timidité de la primaire jusqu’en 4ème. Et je me suis disons un peu dissipée en 3ème sans nuire à ma  scolarité. Mais le jour  du BEP, de nos jours BEPC, nouvel échec à l’oral vue ma timidité impossible de sortir un mot devant les professeurs qui  m’interrogeaient. Je ne regrette rien au niveau études car aujourd’hui encore tout ce dont j’ai appris durant ma jeunesse me sert actuellement pour pouvoir guider mes enfants (5) dans leurs études, du moins  jusqu’en 3ème.

Au point de vue amusement, cela s’est bien déroulé, j’avais mes amies avec lesquelles nous passions d’agréables moments à divers jeux d’enfants. Et comme certains enfants j’allais en colonie de vacances durant les périodes de vacances scolaires en été. J’ai été deux années de suite à Aïn El Turc en Algérie (9 et 10 ans) et de 11 à 15 ans en colonie en France avec les religieuses. Pour moi ce fut mes meilleurs moments même à l’époque d’aujourd’hui, il m’arrive encore de m’imaginer l’endroit de mes vacances du côté de Castres dans un grand château au milieu de forêts, ruisseaux, verdures, bref tout cela était un  enchantement à ne point  oublier. Il  m’arrive même la  nuit dans mes rêves de me retrouver dans ce site merveilleux.

J’ai fait mes communions privée et solennelle puis ma confirmation puis j’ai continué à aller à la messe le dimanche jusqu’en 1962 date de mon rapatriement en France. Je ne sais pour quelle raison, j’ai arrêté nettement la cérémonie de la messe du dimanche peut être par timidité car je ne connaissais personne en France ou seulement par paresse. Mais toujours est-il que j’ai gardé la foi catholique et c’est ce que j’essaie d’enseigner à mes enfants malgré la réticence de mon mari à ce sujet.

Toutes les années où mes vacances se passaient en France, il se trouvait un  moment où pendant 4 à 5 jours, nous allions toute la colonie faire un séjour à Lourdes, lieu de prière. Cela aussi pour moi fut d’une grandiose beauté surtout les processions nocturnes. Où sont passées ces belles années ? Loin très loin derrière ! Mais il reste les souvenirs et c’est formidable.

J’avais 16 ans quand  ma sœur Raymonde s’est mariée. Et déjà je connaissais celui qui allait être mon futur mari. Mais en ce moment, je ne pensais point du tout à lui. Il faut vous dire que mon beau frère et mon mari sont des amis d’enfance ; ils étaient du même quartier, et naturellement quand ma sœur a fréquenté son futur mari, c’est là que j’ai connu Claude car avec mes parents chaque fois que ma sœur sortait avec son fiancé,  il fallait emmener la petite sœur derrière elle, et c’est moi qui en avait la plupart  du temps cette corvée, je ne m’en plaignais pas car je sortais souvent (cinéma et autres sorties).

Quand j’ai fini mes études scolaires c’est-à-dire après l’échec du BEPC, mes parents m’ont permis d’aller en école payante pour suivre des cours de sténo-dactylo, cela me plaisait très bien et j’étais dans les premières en note.

Mais naturellement il  y avait la guerre d’Algérie et après avoir obtenu mes diplômes il a fallu être rapatrié en France.

 

Je peux dire que durant la période où j’allais en cours de sténo-dactylo, je me suis très bien amusée, j’ai peut être un peu honte de le dire mais c’est à 17 ans que j’ai commencé à prendre le  bus pour aller en ville me rendre à mes cours. Je me sentais bien, en liberté quoi. Avec une amie Michelle que j’avais on plaisantait en embêtant les garçons qui parfois nous poursuivaient dans leur voiture derrière le bus jusqu’à notre descente de bus et après avec mon amie Michelle on se cachait pour ne pas que les garçons nous suivent. 

—————————————————————————————————————————————————————–

Ces écrits s’arrêtent ici. Peut être poursuivra-t-elle ? Je ne peux le dire aujourd’hui. Je suis allée rendre visite à mes parents pour les vacances de février 2013. Après avoir relancé Maman sur ses souvenirs, elle m’a confié avoir commencé à écrire, soudain ma  curiosité a pris le dessus, j’avais envie de la lire, j’avais un besoin de découvrir son univers passé.

A la fin de la lecture, j’ai évoqué le souvenir de Michelle, son amie d’enfance, pour laquelle j’avais déjà tenté une première recherche, toujours via le site « Oran des années 50″ mais malheureusement à cette période, le message était restée sans réponse. Les années ont passé. Le jeudi de l’Ascension rassemblant chaque année les Pieds-Noirs d’Algérie créant ainsi de nouvelles rencontres entre eux, de nouveaux souvenirs, des anecdotes, je décidais de retenter ma chance auprès du site en relançant ma bouteille à la mer avec un ultime espoir de retrouver Michelle RODRIGUEZ, j’avais sa photo sur ce même site, j’avais une chance de la retrouver.

Je postais donc mon message. Je reçus aussitôt une réponse, le téléphone Pied-Noir était activé et je reçus aussitôt d’autres réponses. Malheureusement mes premières données n’étaient pas totalement justes, je rediscutais avec Maman qui ne se souvenait plus trop bien, puis j’ai retenté. Puis j’ai eu un mail de Norbert qui disait avoir une soeur Michelle, que c’était bien elle qui figurait sur la photo mais que celle-ci malheureusement était partie à l’âge de 44 ans. Lorsque j’ai lu ce message à Maman, elle avait les larmes aux yeux, que faire ? Je décidais de laisser Maman tranquille, dans ses pensées, puis plus tard, je lui dis : « que veux-tu que je fasse ? Je lui téléphone ? » Non elle n’aurait pas su quoi dire. Je lui dis donc qu’en retournant à Lyon, j’appellerai Norbert.

Retour à Lyon quelques jours après, je téléphonais à Norbert, c’est toujours non pas gênant, ni angoissant, ni stressant d’appeler une personne que l’on ne connait pas, je ne saurais dire quel est ce sentiment ressenti à ce moment là. Une joie et une tristesse mêlées ! La joie d’avoir retrouvée la trace de Michelle après des années où ma Mère pensait à elle, me parlait d’elle et apprendre qu’elle n’est plus de ce monde, ne jamais la revoir pour évoquer le passé. Il ne reste effectivement que les souvenirs. Après avoir discuté avec Norbert, je transmis les informations reçues à ma Mère qui restait sans voix. Elle aurait tant aimé revoir Michelle à un jeudi de l’Ascension. Ma Mère fait souvent ce rêve qui la transporte dans sa maison à Maraval, elle est là dans son jardin, au milieu des marguerites, elle revoit sa rue, son école, tout reste bien ancrée dans sa mémoire…

Je pense souvent à mes parents, je pense à tous les Pieds-Noirs partis de cette Algérie Française, qui petit à petit disparaisse, ne laissant derrière eux, aucune trace et d’autres transmettent leur histoire, leurs jeux, les souvenirs des fêtes, de l’école, des colonies et bien d’autres encore.

La nostalgie me gagne, je tiens à transmettre ce passé qui est cher à mon coeur, à mes propres garçons, ils le savent. Ils me posent parfois des questions, auxquelles je peux leur répondre, je leur raconte des histoires vécues en souhaitant qu’un jour ils perpétuent ce passé.

Bonsoir,

Ce soir, j’aimerai donner la parole aux appelés du contingent de la guerre d’Algérie qui, comme Daniel lors de nos échanges internes, m’a transmis son parcours militaire ainsi que des photos (voir mon article précédent : des photos de là-bas).

Je souhaite que vous me fassiez part de votre histoire, de vos témoignages, de votre ressenti face à la situation vécue. Bien entendu,  si vous êtes d’accord publier le tout, ici sous un article que je nommerais : vos témoignages ; votre vie durant ces années de guerre et si vous souhaitez que vos articles restent anonymes, je respecterais votre choix. Laissez moi vos commentaires, une fois qu’ils seront validés, ils paraitront sur le site, sans validation de ma part, ils ne paraissent pas, donc vous avez toute ma confiance concernant un éventuel anonymat.

 

Mon père qui a participé à cette guerre également, m’en a vaguement parlé, les larmes aux yeux, mais à quoi bon remuer le passé me direz-vous ? Je ne remue pas le passé et je ne veux surtout pas que ce passé vous fasse revivre de mauvais souvenirs, faites comme bon vous semble, parlez moi avec votre coeur même si la période vécue a été difficile, vous avez dû avoir aussi de bon moments.

 

A présent, je vous laisse juge de prendre contact avec moi.

 

25
sept 2010
Posté dans Non classé par oran3644 à 9:05 | 1 réponse »

Pour toi Aurélie,

 

Un petit coucou pour te dire combien j’apprécie tes textes et tes peintures, les premières représentaient beaucoup de tristesse et pourtant déjà tu nous montrais ton talent, on ne pas toujours plaire à tout le monde que ce soit pas nos mots ou par ta peinture, il suffit parfois de te connaitre, t’écouter et surtout te comprendre.

 

Ce petit message pour te donner un coup de pouce, en espérant que ceux qui viendront te lire t’apprécieront autant que moi.

Je note le lien de ton blog afin de laisser place à ta délicatesse des mots et des couleurs :

http://www.philironie.com/

 

 flore.jpg

Je t’encourage à poursuivre.

 

P.S. cet article n’a rien à voir avec mon blog, mais prenez le temps de lire Aurélie et d’admirer ses toiles.

 

 

11
août 2010

image12bis.jpg

J’ai reçu il y a quelques mois un message de Daniel CHAUSSIN, ex-appelé, qui se demandait sur quel site il était tombé, il avait envie de communiquer, j’avais donc décidé de lui répondre, ce que je fis. Par la suite, il me dit avoir des photos du temps de son incorporation pendant la guerre d’Algérie, bien entendu, j’étais heureuse de voir et avoir ces photos par mail. Avec son autorisation, je poste donc les photos de Daniel, sous le titre de : 1961/62-DES PHOTOS DE LA-BAS.

Pour reprendre l’histoire de Daniel, j’ai tout simplement recopié ses mots, ses phrases, afin de ne pas modifier son histoire, je vous laisse donc la lire :

J’ai été incorporé le jour de mes 20 ans en Janvier 1961, et libéré fin Décembre 1962. Les dates que je crois avoir retenues, c’est le 19 Mars 1962, et le 4 Juillet 1962. J’ai de très bons souvenirs, et d’autres atroces. Ces 24 mois se sont répartis en 4 phases et autant d’endroits :

 

-Mostaganem, rien de particulier, chauffeur en service autos.

 

-Aïn Tédéles, chauffeur, encore, au PC bataillon, gros véhicules opérationnels.

-Oran, patrouilles dans le quartier européen, complètement inutiles, jusqu’au 3 ou 4 Juillet 1962, date à laquelle « ponce-pilate-De Gaulle » a tout plaqué et donné des ordres de répression féroces, assisté par Massu et consorts, et que nous avons laissé la place libre. ( la conséquence c’est que les pieds noirs étaient jetés aux chiens)

 

-Aïn Témouchent, en section, caporal, enfer disciplinaire pour cause d’indépendance.

Vous me dites n’en vouloir à personne, mais lors de mon retour, j’étais « intoxiqué » par les évènements vécus, j’ai lu Yves Courrière (historien) et Jean Lartéguy (romancier proche du réel). J’ai tout recoupé, j’ai une idée de l’ensemble de cette période que j’ai retrouvée antérieurement grâce aux récits trouvés chez Yves Courrière. Jean Lartéguy journaliste en Indochine parlait du « mal Jaune », j’étais marqué par le « mal brun ». J’en ai souffert plusieurs années et maintenant encore, mes souvenirs sont très vifs, celui le plus douloureux, c’est le 4 Juillet 1962, sur la terrasse du Lycée Ardaillon. Les équipes de l’ALN qui ont investi le quartier européen, éliminant tout ce qui n’était pas musulman, avec une très grande sauvagerie. Nos officiers et sous officiers ont eu bien du mal à nous contenir, et aucun nous a dit qu’il exécutait les ordres de bon coeur. Cette position à Oran, m’a fait connaitre La Sénia, et Mers El Kébir. Je n’ai pas encore retrouvé toutes mes photos, mais j’ai celles de l’exode à Mers El Kébir. D’Oran, je n’ai de souvenir que de ce Boulevard qui montait jusqu’au Lycée Ardaillon, en passant devant le Lycée Lamoricière où était cantonnée une autre de nos compagnies. Quand je suis revenu chez mes parents, j’ai retrouvé leur appartement de 16m2, je me suis senti petit, j’avais vécu des moments très intenses, j’étais  devenu pro-pieds-noirs. C’est là que je me suis jeté sur la littérature dont je parle plus haut.

Pendant l’une de mes « périodes », à Aïn Tédélès, l’ambiance du petit village prêtait à contacts avec les pieds-noirs. (je n’ai connu aucun arabe scolarisé pendant 24 mois) il y avait des (grandes) jeunes filles qui étaient inquiètes pour leur avenir, et qui regardaient les appelés avec les yeux de Chimène. Un viticulteur qui avait trois filles nous prêtait son garage pour des après midi dansants le Dimanche, avec un oeil à l’extérieur pour prévenir un éventuel attentat. Ils s’appelaient Hernandez, et il y avait sur la place, le petit bistro « Chez Mimile Ramirez », avec Mimile accoudé à son « zinc », pétillant de sympathie.

 

 Pour terminer, je rajouterai ceci : Daniel parle avec son coeur. Jusqu’à présent, j’ai découvert via le net, beaucoup de sites de pieds-noirs relatant leur enfance, leur histoire, la guerre d’Algérie, j’ai vu des photos, des vidéos, j’ai discuté avec des pieds-noirs parfaitement inconnus pour moi, vous avez tous votre histoire, qui est celle de mes parents et l’arrivée de Daniel avec ses souvenirs rejoint notre histoire. Je le remercie donc pour le partage de ses photos et de son récit.

 

 

12
avr 2009
Posté dans MA CUISINE PIED-NOIR par oran3644 à 9:48 | 8 réponses »

photos0004.jpg

 

  1. Ingrédients : 
  2. - 500 gr de farine de pois chiches
  3. - 1 litre d’eau
  4. - 1/2 verre d’huile
  5. - sel, poivre, cumin

 

Préparation : 

Mélanger la farine de pois chiches avec l’eau, bien remuer de sorte que la pâte ait la texture d’une pâte à crêpe. 

Certains laissent la pâte reposer une nuit, d’autres non. 

Personnellement, je ne l’ai pas laissé reposer, une fois prête, je l’ai mise au four pour une durée de 30 min, thermostat 7/8 – 200°/220

La prochaine fois, je laisserai reposer  la pâte une nuit, je verrai bien la différence entre les deux. 

En attendant, je vous ai mis une petite photo de ma toute première calentica !!

 

 

29
mar 2009

Bonjour,

 

Voilà depuis longtemps, nous les attendions, elles sont enfin là, nos archives à nous, les enfants de Pieds-Noirs, les actes de plus de 100 ans sont en ligne sur le site IREL, cliquer sur le lien suivant, mais attention, si vous ne l’avez pas, vous devrez suivre les indications du site pour installer Java Script sur votre PC afin de visualiser les actes, si vous refusez cette mise à jour, vous n’aurez pas accès aux archives : 

Par contre, vous devrez recopier le lien et le coller dans votre navigateur car le lien direct ne fonctionne pas ici, c’est tout de même bizarre ça !!!

 http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/recherche.php?territoire=ALGERIE

 

 Alors amusez-vous bien, recherchez vos ancêtres et faites grandir votre arbre, attention, bien évidemment toutes les communes de l’Algérie Française n’ont pas été microfilmées, bien dommage pour nous. 

 

 

 

 

22
mar 2009
Posté dans MA CUISINE PIED-NOIR par oran3644 à 7:57 | 4 réponses »

photos0036.jpg

 

Voici les mantecaos ou mantecados, il y a plusieurs façons de les appeler, mais quoi qu’il en soit, leur goût reste unique !!!

 INGREDIENTS 

500 g de farine

250 g de sucre en poudre

25 cl d’huile d’arachide ou de tournesol

1 zeste de citron 

De la cannelle

 

PREPARATION

Tamiser la farine, la mélanger avec le sucre ; Incorporer le zeste de citron au mélange farine/sucre ; Ajouter l’huile et travaillez l’ensemble à la main. La pâte doit être onctueuse et sablonneuse. 

Former de petites boules que l’on dépose sur une plaque de four, recouverte d’une feuille d’aluminium, un peu de farine sur cette feuille d’alu, poser la boule de pâte, l’aplatir légèrement. 

Allumer le four à 180° (thermostat 5), enfourner et laisser cuire 15 min environ. Sortez les mantecaos du four, saupoudrez chacun des gâteaux, de cannelle, les laisser refroidir. Peuvent se manger tièdes ou froids et se conservent très bien dans une boîte.

 

 Ne les mangez pas tous, laissez-en pour les autres visiteurs !!!

 

 AH MA COUSINE TU ES ATTENTIVE QUE  NE FERAI-JE SANS TOI ????? BISES A VOUS TROIS

 

 

 

7
fév 2009

Bonsoir à toutes et tous
Valy, aujourd’hui, vous donne celui-ci
espérant, avoir relevé le défi.

Généalogie….

Vous, la génération des plus jeunes,
oui vous, qui n’avaient point de repères
Vous, la génération des plus jeunes,
oui vous, qui n’avaient point vos grand mères.

Pour vous raconter, des anciens la vie
et ainsi, mettre bout à bout, des faits.
Vos grands-mères, sont jeunes aujourd’hui,
elles ne s’occupent pas du passé.

Vous, la jeunesse intermédiaire
vous voulez, donc laisser à vos enfants,
des traces, de ce que fut vos hiers,
et pour eux, débusquez tout vos parents.

Et aujourd’hui, c’est une vraie folie,
on cherche, on fouille, dans les papiers.
Qui n’a pas, son logiciel dernier cri
pour mettre, l’acte trouvé en dernier.

Cercles, forums de généalogie
fleurissent vite, à tout les tournants.
Les bénévoles, deviennent des ami(es),
eux qui pour nous cherchent nos grands parents.

Si, en partant de nous, nous ajoutons
des feuilles, à ce qu’on nomme “arbre”,
car, c’est par elles que nous remontons,
oui mais, après combien de palabres.

Notre joie, est suprême, quand on fini
par trouver, cet aïeul qui se cachait,
ou alors aujourd’hui, dans notre vie,
une personne avec qui cousiner.

Est-ce un phénomène de société?
je ne crois pas, mais avec internet,
c’est devenu grande facilité,
avec les “A.D” misent sur le net.

Alors, nous dirons tous ici,
ce pour notre postérité,
vive la généalogie,
qu’on pourra un jour leur léguer.

22.04.2008

 

Je tiens à te remercier pour toutes les poésies que j’ai eu plaisir à lire Nostalgie.

9
déc 2008
Posté dans Non classé par oran3644 à 3:11 | 1 réponse »

Bonjour à tous et à toutes,

Je vous invite vivement à visiter et à laisser un petit message d’encouragement à Julio pour son site, il est vraiment formidable et vaut le détour !!! Alors allez-y n’hésitez pas un instant !!!

Encore bravo Julio, continuez ainsi vraiment, c’est important !!

Valérie

Le SITE à JULIO du TELAGH

à 60 kms au sud de Sidi Bel Abbés en Oranie Algérie

http://jules.segura1.free.fr

mot passe …… à demander email jules.segura@free.fr

Je suis Jules SEGURA né le 21/06/1946 à le Telagh rentré en France depuis 1962.
mon père Séraphin Segura ( né en 1913 dcd en 1986 ) et ma mère Hortense Parra ( née en 1923 ) avaient le café  » L’ Escale « du père Castellon en bas du village à droite sur la nationale 13 en partant sur sidi bel abbes entre le garage goubi asencio et quincaillerie Nanclarés ,de la banque et pas trés loin de la boulangerie des Alonzo reprise par la suite sauf erreur de ma part par la famille François Vera au coin de la rue vers la poste et qui faisait coin vers les rue des Dames .

23
avr 2008
Posté dans MA CUISINE PIED-NOIR par oran3644 à 12:39 | 20 réponses »

LES ROICOS

  1. Ingrédients :
  2. 250 gr d’huile
  3. 25 cl.de vin blanc
  4. 300 gr. de sucre
  5. 1 paquet de sucre vanillé
  6. 1 paquet de levure chimique
  7. 1 kg de farine (je n’ai pas mis tout à fait le kg, à voir en fonction de la pâte)

Mélanger l’huile, le vin blanc, le sucre vanillé, le sucre en poudre. Ajouter petit à petit la farine et la levure chimique, mélanger au fur et à mesure. Quand la pâte devient non collante et molle, la laisser reposer une heure.

Après le temps de repos, prendre des morceaux de pâte et faire les roïcos. Mettre une face du roïco dans du sucre en poudre et mettre la face non sucrée sur la plaque allant au four, espacer chaque roïco de 3 à 4 cm pour éviter qu’ils se collent entre eux.

Cuisson pendant 15 min, thermostat 180°

Les roïcos doivent être à peine dorés, presque blancs encore. Les laisser refroidir et les manger plus tard dans la journée.

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